Encore un RootsTech extraordinaire!!!

( PETIT PROBLEME TECH POUR LES PHOTOS/VIDEOS MAIS CA ARRIVE! 🙂 )

… Mais sur la Tamise cette fois!

 

Cela faisait quelques temps que j’étais dans la confidence. Depuis qu’on m’avait posé cette magnifique question. Est-ce qu’un RootsTech en Europe te plairait ? Bien sur, j’avais sauté de joie et on m’avait prévenu que ce n’était pas encore fait.

Alors, imaginez ma joie lorsque j’ai recu la confirmation que « oui, RootsTech Londres » aurait bien lieu. Je n’en pouvais plus d’impatience!

A Salt Lake City, cette année là, c’était déjà les grands préparatifs! Un taxi fictif nous y emmenait déjà et le dernier jour pour inviter les visiteurs à embarquer !

Que c’etait dur d’attendre jusque là!

Je demande à la super team d’organisateurs et reçois une caisse de flyers RootsTech, je porte fièrement le t-shirt reçu à Salt Lake City. Je le porte tellement…qu’il s’use! Les Flyers s’éparpillent dans les archives, les bibliothèques et autres centres culturels!

Enfin, le grand jour ! C’est avec excitation et impatience que je me rends sur place. Curieuse de voir à quoi ressemble l’ensemble et un peu anxieuse aussi de voir si la foule viendrait ! J’ai une table (aussi) et je porte mes affaires sur un pont peu engageant qui traverse la Tamise. Et pourtant je chante tout haut comme cela m’arrive souvent ! Parceque je suis tellement contente !

 

Des centaines de conférences variées et pour tout niveau et public, un Expo Hall gratuit et ouvert à tous les visiteurs, des Keynotes entrainantes et fascinantes qui nous ont emmenés sur le terrain de la relation avec les fautes de nos ancêtres ( Dan Snow ) , du courage ( Kadeena Cox ) et de la transmission ( Donny Osmond)

Je lis souvent que RootsTech, c’est l’endroit où nous pouvons échanger sur notre passion sans que l’on nous regarde comme des personnes à enfermer…et c’est tellement vrai ! L’échelle de l’évenement, les centaines de bénévoles, tout cela participe également à faire de #RootsTech une grande réussite !

Mes coups de coeur :

Comme Amberly, j’ai été particulièrement émue par la keynote sincère et touchante de Kadeena Cox. La voir s’avancer sur scène, toute petite et l’imaginer sur les pistes sportives donner tout ce qu’elle a était un moment particulièrement fort ! La voir dire en interview qu’elle pousse les filles et les femmes à se surpasser également.

Je dois avouer que je ne connaissais pas beaucoup Donny Osmond, ni son oeuvre avant. Je le connaissais juste des recherches effectuée sur les frères célébres ( petite minute d’auto-promo : en vente ici ) et je suis plus de la génération Robbie Williams que de l’interprète de X . Mais son discours m’a marqué, parcequ’il a insisté sur la nécessité de conserver les archives familiales, de les transmettre de générations en générations et de toujours se souvenir de ce que nos ancêtres ont eu comme vie, parfois tellement différente de la notre, notamment matériellement. Après la keynote, nous avons eu le privilége de le rencontrer (bravo à l’équipe encadrant la foule en délire!) et je lui ai demandé quelle était son artefact familial préféré. Sa réponse fut des plus touchantes :

Une montre gousset qui était la possession de son grand-père. Celui-ci l’a emménée avec lui comme porte-bonheur à la guerre et à son retour, comme la montre l’avait protégée,

Lors de la première keynote, c’est l’historien Dan Snow qui nous avait alerté sur le poids de la responsabilité, et parfois de la culpabilité, de se pencher sur son histoire familiale. Son discous était orienté sur une période qui me tient fort à coeur : la première guerre mondiale et son approche, mélant la grande Histoire et l’approche familiale me plut tout particulièrement.

J’ai aussi particulièrement aimé l’attention toute particulière pour le public intéressé par l’ADN, les volontaires postés tout le long du salon pour aiguiller les perdus ou tout simplement répondre aux demandes variées et multiples comme « j’ai perdu mon parapluie » ou « J’ai des ancêtres du Yorkshire

Un regret : Celui de n’avoir pas pu assister à toutes les conférences mises dans mon planning. Tout était intéressant! Je rale particulièrement d’avoir raté mon amie Sylvia Valentine et mon ami néerlandais John Boeren ! Mais il y aura d’autres RootsTech!

C’était également un régal de voir les conférences comme celle de Celia Heritage ou Michelle Patient afficher complet. La preuve que le public est en demande d’éducation, d’informations et d’histoires concrétes.

Comme d’habitude depuis quelques années, mon interet s’est porté sur les présentations liées à la généalogie génétique pour parfaire mes connaissances (et oui, on apprend toujours!) . Comme d’habitude, j’en suis sortie enrichie et reconnaissante de rentrer à la maison avec encore plus de connaissances à exploiter tant dans un cadre pro qu’un cadre privé. Passionnant !

A peine le temps de discuter dans les couloirs notamment avec mon amie Amberly mais également avec tellement d’autres personnes qu’il serait complétement vain de les citer toutes et tous, et de passer au stand goodies ( fort alléchant !) que me revoilà au Expo Hall. Au stand de Findmypast, les petites conférences connaissent un grand succès, tandis que MyHeritage n’en finit pas de vendre des kits adn. Décidemment, la génétique est LE sujet qui passionne ! ( Et qui fait débat en France, je sais. Mais le débat est sein quelque soit les positions des uns et des autres) et on ne s’en lasse pas ! Mais sans oublier les sujets « classiques » et notamment toutes les archives collatérales (maisons de pauvres etc.) que l’on peut exploiter !

Fière de faire humblement partie de l’aventure RootsTech !!!!

Non, pas de l’aventure mais de la famille. Car, c’est une réelle communauté qui se retrouve d’année en année pour échanger et avancer tout en étant attentif aux nouvellles avancées technologiques si précieuses aux yeux des généalogistes !

Fière de ce super groupe d’ambassadeurs/drices qui a su tout à fait comprendre sa mission, s’organiser et promouvoir le salon comme il se devait!!

Un énorme MERCI aux organisateurs!!! Le challenge était de taille, grâce à vous prés de 10.000 personnes sont venues sur place, venant de 42 pays différents et ont pu apprendre, échanger et tellement plus!!! Vous avez assuré grave!!

Vivement RootsTech Londres 2020!!!

 

 

Et en attendant…vivement The Story of You à Salt Lake City !!!

 

 

 

Findmypast Announces Project to digitise and publish 1921 Census of England&Wales!

( Findmypast annonce un projet ENORMISSIME (leurs mots!) de partenariat avec les archives nationales britanniques pour digitaliser et mettre en ligne le recensement de 1921! TROP BIEN!!!! J’ai pu interviewer Tamsin Todd, la CEO de Findmypast aujourd’hui à #RootsTech , je vous raconte ca tres vite!!! )

The National Archives in association with the Office for National Statistics (ONS) has awarded leading British & Irish family history website Findmypast the contract to digitise and publish the 1921 Census online

In the most anticipated family history development since the online publication of the 1939 Register, Findmypast has been selected as The National Archives’ commercial partner to make the 1921 Census of England & Wales available online.

The census, which was the first to be conducted following the introduction of the Census Act of 1920, will be published online by Findmypast in January 2022.

The project will see Findmypast capture digital images and transcribe the records in a way that will enable family historians across the globe to conduct meaningful searches of these important records when they are opened for the very first time.

Taken on 19th June 1921, the census consists of more than 28,000 bound volumes of original household returns containing detailed information on close to 38 million individuals.

It provides greater detail than any previous census as, in addition to the questions asked in 1911, the 1921 returns also asked householders to reveal their place of employment, the industry they worked in and the materials they worked with as well as their employer’s name. Those aged 15 and older were required to provide information about their marital status, including if divorced, while for those under 15 the census recorded whether both parents were alive or if either or both had died.

The 1921 Census also included detailed questions on education, and was the first in which individual householders could submit separate confidential returns.

Tamsin Todd, CEO of Findmypast, says: “This announcement is important for all family historians tracing their ancestors living in Britain in the early twentieth century. It provides a fascinating snapshot of how people lived and worked in the years following World War 1, and it’s all the more important because there’s no surviving census for the next two decades until 1951.”

Neil Curtis, Finance and Commercial Director at The National Archives, said: “This is the most significant digitisation project The National Archives has undertaken to date, with the 1921 census containing detailed information on close to 38 million individuals. As home to more than 1,000 years of history, we are delighted to be working with Findmypast to open up this unique record collection to the world.”

Pete Benton, Census Operations Director at The Office for National Statistics, said: “The 1921 Census records are a unique opportunity to uncover details of how your family lived and worked in a period of massive socio-economic change in post-World War One Britain. They give greater detail than any previous census and are eagerly anticipated by genealogists the world over. At ONS, we keep census records under tight security for 100 years and we are very much looking forward to enabling this invaluable source of history to be made available to the public in January 2022.”

Collections previously digitised by Findmypast in association with The National Archives include the 1939 Register, Prisoners of War 1715 to 1945, Easter Rising & Ireland under martial law 1916-1921, Crime, Prisons and Punishment; outbound passenger lists; British Army Service records; Merchant Navy Seamen’s records; Maritime Birth, Marriage and Death indexes; and the 1911 Census.

https://lh3.googleusercontent.com/V3_yWZyKTXPHdr3X70ZC1nGUefifnL_aNefTUbq3uBLmD8Qt4Gc2HtHw65CW7K8UyFmULOT5RuO6ZdWA8KwRH9n1MDs7aK1dQ8tBdNfiaW7V73dEa46KnOOKSprddFnP7t-wgd-F

Possibilité de commander des actes britanniques en PDF ! ( Fête et confettis ! )

Le GRO Britannique, équivalent centralisé de notre Etat-Civil prolonge, suite à des tests positifs, réactive la possibilité de commander des actes sous forme de PDF à un prix ( légèrement ) moindre que celui d’une commande classique pour laquelle il faut, en sus, rajouter des frais de port qui peuvent vite s’avérer lourds en cas d’envoi à l’étranger !

Attention cependant , ces copies pdf n’auront jamais force de loi et donc ne peuvent être utilisées dans un cadre officiel mais sont tout à fait utile si il s’agit « juste » de faire des recherches généalogiques !

A vos commandes !*

 

 

 

 

 

 

* En cas de souci ou de question, n’hésitez pas à me contacter ! ^^

Who Do You Think You Are? 2016 is here!

wdytya                                    Who Do You Think You Are? 2016 is here!

This year edition,just like last year’s, will take place at Birmingham’s NEC. The whole genealogical world will be there trying to help in your ancestral quest!

As usual, I’ll be there offering advice and help so do come and say hello!

I’ll be delighted to offer family history support!

Bienvenue! Welcome!

Le premier amour du futur Léopold 1er

Ce soir se joue à Cardiff un match de qualification pour l’Euro 2016 entre la Belgique et le Pays de Galles.

Les Diables Rouges sont fort mais savent-ils que le premier Roi des Belges, Léopold 1er épousa une Princesse de Galles, Charlotte, en 1816 ? Et que veuf, la pauvre Charlotte mouru peu après avoir donné naissance à un enfant sans vie et sans réelle position ni attaches à la Cour d’Angleterre qu’il fut pressenti d’abord pour être Roi de Grèce et ensuite devenir le premier Souverain du nouveau Royaume de Belgique ?

(c) Brighton and Hove Museums and Art Galleries; Supplied by The Public Catalogue Foundation
(c) Brighton and Hove Museums and Art Galleries; Supplied by The Public Catalogue Foundation

Un candidat premier ministre britannique aux connections belges

Dans un scrutin britannique où les relations à l’Union Européenne ont occupé le centre des débats, un candidat Premier Ministre entretient une relation privilégiée avec la Belgique et une de celles qui dépasse le cadre de la politique internationale.

La famille du candidat du Labour Party, Ed Miliband, a en effet des liens forts avec notre pays. Son père, Ralph, est né en 1924 à Etterbeek sous le prénom d’Adolphe Miliband. Plus tard, il changera son prénom pour se distancier du leader nazi Adolf Hitler.

Ses parents étaient Samuel Miliband et Renée (Rywka) Szteinlauf, tous deux de Varsovie, en Pologne.

Comme des centaines d’autres ressortissants des pays de l’Est dans la premiere moitié du 20 siècle, Samuel et Rywka avaient quittés, séparément, leur pays fuyant la pauvreté et la montée de l’antisémitisme pour venir à Bruxelles, trouver une nouvelle vie. Ils se marièrent à Bruxelles le 9 Juin 1923 et le petit Ralph vint faire d’eux une famille un an plus tard, dans la commune qui accueille actuellement les institutions européennes.

Au moment du mariage, ils vivaient tous deux  Rue des Palais, 249 mais étaient officiellement encore domiciliés à Varsovie. Juste avant le mariage,  Samuel résidait rue Vondel à Schaerbeek.Rywka, elle, habitait le Treurenberg en plein centre ville non loin du parc royal.  Le témoin au mariage fut Noart Auslender cousin (du coté maternel) du marié et un ami, Jacques Millman.  Les registres de population de la Ville de Bruxelles montrent la famille dans les années 20 déménager trois fois en mois d’un an dont une délocalisation dans les Marolles, quartier populaire de Bruxelles. Samuel travaillant comme maroquinier et Rywka comme couturière.  La jeune famille n’en oublia pas pour autant ses racines polonaises. Wolf, un jeune frère de Samuel vint habiter avec la famille en 1923. Un autre frère de cette grande famille, Mayer, vint également habiter à Bruxelles après 1919. Les archives le décrivent comme travailleur, de bonnes moeurs et sans histoires et habitant Rue de Leglentier chez une logeuse, également dans les Marolles non loin de l’endroit où sont conservées les archives de la Ville de Bruxelles, trésors de notre patrimoine. Pendant la guerre, la grand-mère d’Ed Miliband et d’autres membres de la famille resteront cachés en Wallonie comptant sur la solidarité des habitants et de la Résistance.

La maison des Marolles qui fut en son temps un domicile pour la famille Miliband. C'est maintenant un magasin de fournitures en bois. (c) Marie Cappart
La maison des Marolles qui fut en son temps un domicile pour la famille Miliband. C’est maintenant un magasin de fournitures en bois. (c) Marie Cappart

Les votes britanniques seront serrés mais si le candidat travailliste l’emporte, il aura probablement à coeur d’inclure une visite privée sur les lieux de mémoire, autrefois résidence de ses ancêtres, dans sa première visite officielle à Bruxelles.

(c) Archives de la Ville de Bruxelles-dossier. Pol.Etr. n°106684)
(c) Archives de la Ville de Bruxelles-dossier. Pol.Etr. n°106684)

 

 

Rechercher ses ancêtres en Grande-Bretagne

Vous avez des ancêtres en Grande-Bretagne mais vous ne savez comment entamer vos recherches ?  Vous n’êtes pas familiarisé par les méthodes de recherche anglo-saxonne et vous voudriez en apprendre plus ? Vous êtes bloqué dans vos recherches en Ecosse,Irlande, Angleterre et Pays de Galles ? Pas de panique. Les recherches généalogiques au Royaume-Uni peuvent être assez déstabilisantes pour qui n’est pas familiarisé avec les différentes sources et les méthodes de recherche, sensiblement différentes de ce que l’on peut trouver par exemple en France ou en Belgique. Les recensements,par exemple, ont une place importante dans la chasse aux ancêtres. Ces recensements vous permettent souvent de suivre vos ancêtres et leurs pérégrinations à un rythme décennal et sont une mine d’or pour débloquer vos recherches, trouver des enfants décédés en bas age etc. De même, l’organisation de l’etat-civil et des actes peut être assez déroutant pour qui y est confronté pour la première fois. Il vaut mieux être donc bien préparé.

Pour toutes ces situations,et pour en apprendre plus sur vos ancêtres britanniques, un petit guide pratique vient de sortir aux Editions Archives et Culture : « Retrouvez vos ancêtres en Grande Bretagne » et vous permet de vous lancer!

http://www.archivesetculture.fr/livre-archives-et-culture-genealogie-retrouver-ses-ancetres-en-grande-bretagne-404.html

N’hésitez pas à me poser vos questions également, je suis là pour ça!

 

Les descendants du Football

Le 26 Octobre 1863 dans la FreeMason Tavern, huit hommes réuni autour d’une même passion couchèrent sur papier les règles de base d’un sport qui allait conquérir l’univers = le football ! Ils ne se doutaient certainement pas que 150 ans plus tard, ce sport allait faire tant d’adeptes de par le monde, tant de polémiques également mais aussi tant de joies chez les petits et les grands.

Le football fête donc son 150eme anniversaire cette année, Happy Birthday !

Pour célébrer cet événement comme il se doit, l’association professionnelle de Football britannique s’est lancé le défi de rassembler un maximum de descendants des fondateurs du jeu culte au stade de Wembley en octobre 2013. Les noms des fondateurs sont les suivants :

Ebenezer Cobb Morley (1831-1924),

Arthur Pember (1835-1886),

Charles William Alcock (1842-1907),

Francis Maule Campbell (1843-1920),

John Forster Alcock (1841-1910),

Herbert Thomas Steward (1839-1915),

George Twizell Wawn (1840-1914)

James Turner.

Il est possible que des descendants résident à l’étranger d’où la nécessité de faire circuler cet appel le plus largement possible.

Pour se donner toutes les chances, les footballeurs britanniques se sont associés à l’appel et diffusent cette vidéo qui,je l’espère,tournera suffisamment dans la blogosphère pour retrouver les descendants des pères fondateurs du sport le plus célèbre et le plus célébré au monde !

Pour plus de renseignements,  voir : http://www.thefa.com/News/2013/apr/find-the-founding-fathers-300413 ou à l’adresse foundlingfathers@thefa.com

9-sheffield-wednesday-fc

source : http://www.totalprosports.com/2011/07/19/9-oldest-soccer-clubs-in-the-world/ (et dédicace spéciale à mes oncles qui étaient de grands fans du Sheffield FC 🙂 )