Big news concerning FamilySearch microfilms ordering!

( C’était dans l’air, le service international de location de microfilms cessera en septembre 2017. Les dernieres commandes sont à faire avant le 31 aout 2017).

« FamilySearch Digital Records Access Replacing Microfilm

SALT LAKE CITY, UT (26 June 2017)—FamilySearch, a world genealogy leader and nonprofit, announced today its plans to discontinue its 80-year-old microfilm distribution service. The transition is the result of significant progress made in FamilySearch’s microfilm digitization efforts and the obsolescence of microfilm technology. The last day for ordering microfilm will be August 31, 2017. Online access to digital images of the world’s historic records allows FamilySearch to service more people around the globe, faster and more efficiently. See Finding Digital Images of Records on FamilySearch.org and Frequently Asked Questions for additional information. Find and share this announcement online in the FamilySearch Newsroom.

A global leader in historic records preservation and access, FamilySearch and its predecessors began using microfilm in 1938, amassing billions of the world’s genealogical records in its collections from over 200 countries. Why the shift from microfilm to digital? Diane Loosle, Director of the Patron Services Division said, « Preserving historic records is only one half of the equation. Making them easily accessible to family historians and researchers worldwide when they need them is the other crucial component. »

Loosle noted that FamilySearch will continue to preserve the master copies of its original microfilms in its Granite Mountain Records Vault as added backup to the digital copies online.

As the Internet has become more accessible to people worldwide over the past two decades, FamilySearch made the decision to convert its preservation and access strategy to digital. No small task for an organization with 2.4 million rolls of microfilm in inventory and a distribution network of over 5,000 family history centers and affiliate libraries worldwide.

It began the transition to digital preservation years ago. It not only focused on converting its massive microfilm collection, but also in replacing its microfilm cameras in the field. All microfilm cameras have been replaced with over 300 specialized digital cameras that significantly decrease the time required to make historic records images accessible online.

FamilySearch has now digitally reproduced the bulk of its microfilm collection—over 1.5 billion images so far—including the most requested collections based on microfilm loan records worldwide. The remaining microfilms should be digitized by the end of 2020, and all new records from its ongoing global efforts are already using digital camera equipment.

Digital image collections can be accessed today in three places at FamilySearch.org. Using the Search feature, you can find them in Records (check out the Browse all published collections link), Books, and the Catalog. For additional help, see Finding Digital Images of Records on FamilySearch.org.

Transitioning from microfilm to digital creates a fun opportunity for FamilySearch’s family history center network. Centers will focus on simplified, one-on-one experiences for patrons, and continue to provide access to relevant technology, popular premium subscription services, and restricted digital record collections not available to patrons from home.

Centers and affiliate libraries will coordinate with local leaders and administrators to manage their current microfilm collections on loan from FamilySearch, and determine when to return films that are already published online.  »

 

 

Challenge AZ 2017 : M comme…

Mal.

Quand nous sommes enfants, si nous sommes bien éduqués, on nous apprend la différence entre le bien et le mal. On ne peut pas taper, pincer, mentir, voler… Voler.

Les archives, hélas, sont également victimes de vol. Les institutions archivistiques sont confrontées à des vols d’archives, de registres, de microfilms (quelle idée!) ou à la dégradation irrémédiable de matériel historique à la valeur inestimable.

Voler.

Récemment , un historien français d’origine, Antoine DeHays* a été inculpé du chef de vol et de recel pour des archives de Washington. Si il y a bien quelque chose qui m’est insupportable, c’est le vol d’archives . Alors oui, ce monsieur doit encore être jugé, et jusqu’à son éventuelle condamnation, il est n’est pas encore reconnu coupable. Mais les élements à charge sont assez accablants, voir entre autre ici.

En volant des documents (pour les revendre ? les conserver ? par maladie mentale ? ) , les criminels

( Désolée, je ne vois pas d’autres mots ! ) privent les institutions archivistiques de sources uniques, précieuses et importantes. Les chercheurs mais également les visiteurs qu’ils soient réguliers ou occasionnels.

Respectez les archives, manipulez-les délicatement, avec toutes les précautions voulues ( et renseignez vous auprès du personnel de salle si vous avez un doute) et n’hésitez pas à rapporter au même personnel, tout comportement suspect dont vous auriez connaissance.

 

 

Challenge AZ 2017 : P comme…

Patience ! Il en faut beaucoup en généalogie. C’est parfois difficile à intégrer comme concept, pour les débutants et les clients, tant l’enthousiasme d’en savoir plus est grand ( et c’est très bien ! ) mais il faut parfois faire de longues recherches, l’information ne se dévoilant pas facilement , ou attendre un acte qui vient de loin. C’est parfois difficile d’attendre…mais il le faut !  Patience !

Challenge AZ 2017 : O comme…

Ommegang ! Si j’ai déja utilisé mon « O » les autres challenges pour montrer mon attachement à la ville de Bruxelles ( et à mes ancêtres bruxellois 😉 ) , cette année est un peu spéciale : Demande a , en effet , été faite par la région Bruxelloise à l’UNESCO pour reconnaitre la procession de l’Ommegang comme Patrimoine Immatériel de l’humanité. On croise les doigts !

« A la base, l’Ommegang est une procession religieuse, créée à Bruxelles en 1348. On la connaît aujourd’hui dans sa version moderne, inaugurée en 1930: 1400 figurants costumés retracent le règne de Charles Quint, qui avait assisté à l’Ommegang de 1549. Cette procession est la plus ancienne représentation historique de Bruxelles. Et chaque année, le premier jeudi du mois de juillet et le mardi qui le précède, les forces vives de la société bruxelloise défilent pour l’Ommegang. ( RTBF )

 

Du nouveau pour les conditions de confidentialité de Geneanet !

Je reprends le communiqué in extenso ici : « C’est une petite nouveauté qui devrait apporter beaucoup de solutions aux problèmes liés à la confidentialité des données sur GeneaNet. Les personnes qui figuraient dans des arbres sans dates de naissance, mariage ou décès étaient jusqu’alors soit oubliées par le masquage des contemporains, soit masquées alors qu’elles étaient décédées depuis des siècles, d’où un casse-tête pour l’utilisateur : que choisir ?

Récapitulons la situation telle qu’elle existe depuis la création des arbres en ligne et des options d’affichage/masquage des données. Jusqu’à présent, les généalogistes qui choisissaient de masquer les contemporains avaient deux possibilités pour les individus saisis sans dates de naissance, mariage ou décès :

– Faire apparaître les individus sans dates, avec l’inconvénient que des contemporains apparaissent.
– Masquer les individus sans dates avec l’inconvénient de voir des “xx” apparaître partout dans l’arbre.

 

Désormais, si vous avez choisi le mode “privé”, notre système va déterminer automatiquement s’il y a lieu de masquer les individus sans date, ou non.
Pour ce faire, un calcul est effectué en fonction des dates renseignées sur les ascendants, les descendants ou les conjoints. Ce calcul prend en compte une moyenne de 30 ans d’écart par génération.

Bien évidemment, il ne sera pas parfait, car il peut y avoir des naissances avec très peu d’écart d’âge (une mère de 17 ans par exemple) ou avec un écart important (un père de 60 ans), mais il devrait être suffisant pour éviter les publications d’individus bien vivants tout en laissant apparaître la plupart de vos ancêtres non masqués par des “xx” désagréables.

Ce traitement sera effectué de façon automatique, vous n’avez donc rien à modifier. Les modifications seront mises en place dans les jours qui viennent (et instantanément si vous mettez à jour votre arbre), nous vous remercions de votre patience.

Un grand merci à Daniel de Rauglaudre, auteur de GeneWeb (le module de l’arbre en ligne) pour la conception de cet outil ! »

Voilà qui va satisfaire bien des utilisateurs du site généalogique français !

Challenge A-Z 2017 : J….

Un « J » un peu spécial car il va mettre à l’honneur une généalogiste dont j’apprécie particulièrement l’approche de travail sur le fond et sur la forme.

J comme Judy. Judy G. Russell est son nom. Et Judy, la voici…

( (c) Judy G Russell-The Legal Genealogist (TLG)- Reproduction avec son aimable permission )

Judy une généalogiste américaine qui sillonne le pays en donnant cours, séminaires et conférences et dont l’angle d’approche et d’analyse est le droit. L’évolution légale des familles, les trouvailles dans les jugements, les attendus, les décisions judiciaires et plus particulièrement la place des femmes à travers l’évolution de l’appareil judiciaire (principalement) américain et dans les applications des lois font des recherches de Judy à la fois un outil précieux pour décrypter les sociétés d’hier et d’aujourd’hui mais également un délice à lire et à écouter. J’en retire toujours quelque chose et j’aime beaucoup son méthodisme, sans chipotage et sans extravagance et sa façon d’aller rechercher des exemples judiciaires pointus pour soutenir l’analyse de la place des femmes, qu’elles soient célibataires, épouses, mères ou veuves dans la société nord-américaine.  Je retire toujours un enseignement ou quelque chose d’intéressant de ses analyses pointues et avisées comme en témoigne les échanges que nous avons pu avoir autour de l’affaire « Delphine Boël » . Judy est également passionnée par la question du Copyright en généalogie et par les questions de propriétés intellectuelles.

J’ai été trés heureuse également de bénéficier de ses éclairages concernant une décision de la Cour Suprême des Etats-Unis impliquant de lointains cousins Cappaert !

J’ai eu l’honneur d’assister à l’une de ses conférences en février dernier, à Roots Tech et de pouvoir passer un moment avec elle ce jour là. En discutant, Judy a mis l’emphase sur l’importance du décryptage des décisions de loi et sur l’importance qu’il y a à mettre en avant ces femmes concernées des décisions de justice, bien souvent avec le mauvais rôle et réintegrer ces sources dans une étude socio-économique du moment concerné.

J’espère que vous aurez autant de plaisir que moi à la lire (en anglais) et à découvrir les belles photos de voyage ( « vue du bureau du jour ») qu’elle poste régulièrement au gré de sa participation aux nombreuses conférences généalogiques organisées dans le pays !

http://www.legalgenealogist.com/

et comme J rime aussi avec Justice, voici une vue du Palais de Justice de Bruxelles, mastodonte éternellement en travaux, et dont la construction a commencé en 1866 !  ( et où sont conservés les doubles d’Etat-Civil dont une partie va déménager bientôt, on en reparle ! )

La recherche patronymique : fun et aisé avec Filae !

La malédiction du post fantôme ayant encore frappé, je refais ce billet pour la…3e fois (yeaah!)

Vous n’etes pas sans savoir (Ou peut-etre ne le savez vous pas encore…mais ou étiez vous? ) mais Genealogie.com a opéré de gros changements et s’est réinventé en Filae. Pourquoi Filae? Pour se concentrer sur la digitalisation des actes les plus récents et travailler à un grand moteur de recherche agrégant les actes, les arbres et les bases de données selon le modèle suivi par les grandes compagnies internationales et qui tend à se répandre en Europe ce qui, loin d’être un grand machin effrayant, doit etre considéré comme un bienfait et une opportunité de développement pour tous ! C’est en effet le pari que fait Filae pour rendre la généalogie accessible au plus grand nombre avec des moteurs de recherches permettant  d’affiner les critères choix ( lieux, dates, périodes…)  et la connexion directe avec des actes du XIXe au fur et à mesure des accords avec les différents dépôts d’archives départementales et les institutions archivistiques.

Un de ces moyens étant la possibilité de « jouer »avec les variantes patronymiques, si importantes dans nos recherches pour élargir ou au contraire, réduire les résultats.

Filae s’avance résolument dans le 21e siècle !

Comme on dit en anglais  » What not to like ? »*

 

 

 

 

 

 

 

  • Qui pourrait se traduire par… » Que du bonheur! » 😉

Challenge AZ 2017 : K comme…

Kinshasa, Congo ! ( République du )

C’est la très bonne émission « Retour aux Sources » , diffusée hier soir sur France 2 qui m’a donné mon « K »

( j’avais pensé à Kaki, Koala et Kelly mais je vous épargnerais cela cette année ). Kinshasa, anciennement Léopoldville de 1881 à 1966 et le lieu d’origine de nombreux belges et également le siége des archives congolaises ( voir l’article de M. Josich Mbumba ici)

Les archives coloniales sont pour leur grande majorité conservées en Belgique. La plupart au Ministère des Affaires Etrangères quand elles concernent les affaire consulaires et de citoyenneté et aux Archives Générales du Royaume (AGR) pour les archives institutionnelles et économiques mais bien sûr, en fonction des fonds d’archives,on peut retrouver des références

Si je parle du Congo,c’est que la Belgique n’évoque pas assez la question coloniale, tant dans l’éducation des enfants que dans les recherches scientifiques. Sans parler de la douloureuse question des enfants nés de couple mixte et souvent arrachés à leurs familles congolaises pour être emmenées.

C’est aussi un clin d’oeil à mes amies congolaises dont Ika de Jong (Good Live TV)  et à aux membres de ma famille aux origines congolaises 🙂

Challenge AZ 2017 : L comme…

Ludique : La généalogie doit aussi être un jeu !

Il doit y avoir de l’amusement dans la recherche, de la joie dans la quête de ses ancêtres !

Fini les mines austères et graves, terminés les airs doctes et sentencieux du haut de nos loupes dans les archives, il y a tout à fait moyen de faire de la généalogie avec le sourire et en sympathisant avec d’autres chercheurs ! Pour citer une idée Nietzschéenne, Il faut être sérieux comme un enfant qui joue »

et puisqu’on parle de jeu, voici le Généalogik, que certains d’entre vous connaissent déjà et qui est très sympa à découvrir ! Petit plus, les règles du jeu sont désormais disponibles en anglais et en néerlandais! 🙂

Et vous, vous aimez jouer ?

Chess, Game, Fun, Play, Strategy, Leisure, Competition